Danny Kronstrom a quelque chose de Charles Darwin. Dans cet article, il imagine l'avenir de Facebook et Twitter dans un monde, le web, qui obéirait à une sorte de théorie de l'évolution naturelle.
Selon lui, ces deux grands réseaux génériques ne seraient pas suffisamment équipés pour résister à terme à la poussée de micro-réseaux très spécifiques - un peu comme les dinosaures ont été remplacés par des espèces plus agiles. Au-delà de l'idée, intéressante en soi, l'argumentation est efficace.
En voici un extrait:
'L’un des bons exemples de ce changement, c’est Steepster. Steepster est un réseau social pour les amateurs de thé. Cet endroit convivial propose de discuter de thé entre amoureux de ce délicieux breuvages provenant de partout à travers le monde. Il est évident que pour s’inscrire et être actif comme membre à Steepster, il faut vraiment aimer le thé. Pas juste un peu… mais beaucoup plus que ça. Les groupes de musique ont également emboîté le pas des micro-réseaux. Par exemple, le groupe irlandais The Cranberries a ajouté l’année dernière un réseau social dédié aux fans. Ainsi, les fans de partout à travers le monde se réunissent et partagent leurs impressions et leurs photos de leur groupe favori. Bien souvent, ces utilisateurs ne les partagent uniquement que sur ce réseau.'
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